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Le blog livresque du large a vécu, vive le livre !

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Le blog livresque du large a vécu, vive le livre ! Depuis un peu plus d’un an, vous avez été plus de 43000 à venir lire les tranches et tronches de vie de Livresque du large (tableau google analytics ci dessous). Un grand merci !   Livresque du large est aujourd’hui un livre, disponible sur toutes les plateformes distribuant des livres (Fnac, Decitre, Bookelis, Libraires indépendants, Amazon, etc.), en version e-book à 1,99 €, téléchargeable immédiatement, ou en livre broché à 9,50 €, à commander en attendant le jour béni où nos amis libraires puissent ouvrir à nouveau leurs portes Livresque du large (160 pages) est illustré par le dessinateur de presse Frap et préfacé par le journaliste navigateur jean-Marie Biette Un présentation apéritive de Livresque du large est toutefois proposée en treize vignette sur ce même blog ou encore sur le site internet   www.livresquedularge.fr Adresse mail : lesedi...

Adolfo Ramirez : tout n’est malheureusement pas à brûler dans Livresque du large

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Nous ne sommes pas d’accord avec ce sombre personnage d’Adolfo Amédée Ramirez mais  nous nous battrons jusqu’au bout, jusqu’à la mort, pour qu’il puisse le dire. Critique d’Adolfo Amédée Ramirez «  Tout n’est malheureusement pas à bruler dans ce livre » Entre deux lettres anonymes et le bonheur simple de relire «  Les beaux draps » du cher Louis-Ferdinand Céline et surtout «  Comme le temps passe » du délicieux Robert Brasillach, je me suis enfin décidé à jeter un œil sur ce livre sorti et honteusement promu en plein confinement, je veux parler de Livresque du large. Ce livre que j’ai commandé, car, comme aimait à le répéter le bon Amiral Darlan, il faut toujours savoir ce que pense l’ennemi, ce livre disais-je jonchait le sol de ma chambrée au pied de mon lit à baldaquins. Je l’ai écrasé en me levant, du pied gauche, il paraît que ça porte bonheur. Ce sera toujours ça de gagné. Le brûlot s’ouvre sur une farce irrespectueuse intitulée «  Excl...

Livresque du large, une critique bien «  frappée »

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LE LIVRE POUR COMPRENDRE LES ENJEUX DU DÉCONFINEMENT (ET AUTRES BROUTILLES) Par Éric Chalmel, alias Frap , dessinateur de presse Je ne connais pas et ne veux pas connaître ce « préfarceur » de M. Biette (drôle de nom, encore un courageux pseudo !), en revanche je connais très bien, je n’ose dire intimement, M. Jules Pseudo. Certes affublé d’un patronyme malheureux, M. Pseudo est un authentique humaniste, érudit de première bourre et, on le sait moins, aquarelliste de grand talent, dans la veine des romantiques tardifs allemands hélas méprisés par la critique d’après-guerre. C’est évidemment l’auteur à succès qui nous intéresse hic et nunc. Que dire qui n’ait été dit ? Les éloges pleuvent sur ce petit ouvrage qui n’est pas sans rappeler « Les Caractères » de cet auteur de sous-bois dont j’ai oublié le nom – mais c’était aussi certainement un pseudo. J’affirme même, n’étaient ces grossières illustrations qui jonchent ses pages, que l’ouvrage leur est supérieur par la moder...

A bout de course / La vieille âme et la mer

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A bout de course…  La vieille âme et la mer  Photo qui n’a rien à voir avec cette fiction ! Il semble encore tanguer légèrement sur sa chauffeuse, au beau milieu de la scène du «  show case » de la Fnac. La salle est déjà comble. Yann Sauzon se balance légèrement, de tribord en bâbord. Est-ce le mal de terre ? Il a pourtant coupé la ligne d’arrivée aux Sables-d’Olonne il y a maintenant deux mois. Certains marins ne sont jamais vraiment à l’aise loin de l’écume. Ne dit-on pas : «  En mer, le danger, c’est la terre » ?   Avec son quasi quintal de rugbyman, son air d’éternel adolescent aquaboniste, ses cheveux touffus et bouclés, son regard songeur et rieur, Yann attend l’animateur. Il vient présenter son livre   A bout de course . La conférence, la première depuis l’arrivée aux Sables-d’Olonne, est très attendue. Il y a d’ailleurs quasiment autant de journalistes que de lecteurs dans la...

Le Père Rochard (et le fils) au temps du coronavirus

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Le Père (et le fils) Rochard au temps du Coronavirus Devenu vieux, le Père Rochard, célèbre patron du garage éponyme, retrouve sa gouaille légendaire pour se plaindre du manque de chloroquine dans sa maison de retraite du Vieux piston à Saint-Jean-de-Boiseau (Loire Inférieure). Voici le script fidèle et intégral du message qu’il a laissé sur le répondeur de l’agence régionale de santé - Oui bonjour, le Père Rochard là, Saint-jean-de-Boiseau. Voilà hier soir, y’a le médecin de garde du Pellerin qui m’a rappelé parce que je tousse et j’ai 40 de fièvre. Il m’a dit qu’il fallait prendre de la Chloroquine avec un antibiotique, comme le prescrit le gars de Marseille qu’on voit aux infos à la télé, celui qui ressemble à Patrick Sebastien. Seul problème, c’est que la pharmacie de Saint-Jean-de-Boiseau, place de l’Eglise, me refuse ce traitement et me dit que de toute façon, y’en a plus. Mais systématiquement, y’a pas de raison que les gars de Marseille puissent se...